En 2017, le niveau de fertilisation azotée des grandes cultures reste stable par rapport à 2011. La fertilisation est moins minérale et mieux ajustée.


En 2017, le niveau de fertilisation azotée des grandes cultures en Hauts-de-France reste stable par rapport à 2011. Toutefois, les cultures reçoivent moins d’apports sous forme minérale au profit d’une fertilisation azotée organique. Les déjections animales constituent 77 % des apports en azote organique et les effluents extérieurs à l’exploitation augmentent de moitié. La maitrise des apports est meilleure : les surfaces concernées par un bilan de fumure et par la mesure d’un reliquat azoté sont plus importantes.

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